Paris encore

Paris, on aime ou on déteste. Alex Soloviev se place dans la première catégorie. Le réalisateur a voulu capturer dans un court-métrage toute la poésie qui se dégage de cette ville particulière qui suscite diverses émotions à ses habitants et visiteurs. Pour Alex Soloviev, la beauté de la ville lumière réside dans les instants de vie qui semblent anodins, dans les petites ruelles cachés, où les grandes artères bondées, dans les cafés pittoresques et les discothèques hype. Le réalisateur montre son Paris à lui. Et on ne peut pas s’empêcher de se répéter que “mince, Paris, c’est quand même bien joli”.


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